"Dans ce journal même, Marcelin Pleynet dit que ce qui l'a toujours le plus surpris, c'est que les commentateurs de Lautréamont ne parlent que d'eux-mêmes — ils ne parlent pas de Lautréamont, c'est Lautréamont qui les fait parler. C'est de propos délibéré, et sur cette phrase, que j'ai écrit ce "Lautréamont et nous", qui ne fait pas que tomber sous ce reproche, mais plonge dans cet abîme."