Que faut-il penser de ces nouveaux savoirs issus des sciences cognitives qui pénètrent à l’intérieur de la « boîte noire » de l’esprit ? En quoi sont-ils utiles, voire nécessaires à la philosophie ? On peut chercher à répondre à ces questions dans le sillage de Wittgenstein, et voir comment philosopher autrement sur l’esprit.